LE DRAGON  FRANÇAIS

et

SON CHEVAL

 

Regardons de plus près l'historique de mon dragon, du 30ᵉ régiment de dragons

 

L’arrêté du 1er vendémiaire an XII (24 septembre 1803) prescrit un nouvel enregistrement de la cavalerie. C’est ainsi que le 4 brumaire an XII, le 12e régiment de hussards stationné à Berne, est transformé en 30e régiment de dragons.
Dés sa création, il vient s’installer à Moulins puis, en 1805, est dirigé sur l’Italie où il est embrigadé avec le 24e dragons. Le général Mermet commande la division de dragons composée des 23e et 29e dragons (général Frésia) et des 24eet 30e dragons (général Lacour).
Dès le mois d’octobre le régiment rejoint Villafranca puis Baldoue.

 

Rapprochons-nous de la campagne de Russie, en 1812.

 

Le régiment fait partie de la division Houssaye avec le 7e, 23e et 28e dragons. Ce sont les seules unités de dragons qui feront la campagne de Russie. Les 28e et 30e dragons forme la brigade Seron. Il est à Chemmitz le 5 avril 1812. Affecté au IIIe corps de cavalerie de Grouchy, le régiment se porte sur le Niemen combat à Vilna et Ebling puis, le 20 juillet, marche sur Smolensk où il participe à une mémorable charge, enfonçant et culbutant les Russes.
Le 7 septembre 1812 il est engagé dans la bataille de la "Moskova", participe activement à la charge contre les réserves de l’infanterie russe et balaie toute la cavalerie ennemie. Le 30e dragons sort très éprouvé de cette bataille, mais les actions conjuguées de la grande Armée ouvrent la route de Moscou. Le nom la "Moskava 1812" est inscrit sur l’étendard.
Le 19 octobre 1812, les troupes françaises quittent Moscou. C'est ensuite pour le 30e dragons les combats de Viasma le 3 novembre puis, "la cavalerie n’existant plus", le général Grouchy prend le commandement de la cavalerie démontée. Le 6 janvier les restes du régiment arrivent à Koenisberg.

 

          (par le Lt colonel  Henri Azema et la participation du général Declety)

Une histoire d'homme et de cheval.

 

Et si, par un heureux hasard, notre dragon s'appelait "Melet" et si, par un autre heureux hasard, notre cheval s'appelait "Cadet" ??...... Le hasard faisant bien les choses, voici l'histoire extraordinaire de "Melet" et de son cheval"Cadet", histoire intégrale, d'après le récit d'Emile Ferdar, paru dans les "Annales", au sujet du fameux dragon Melet et de son cheval Cadet, avec lequel il a fait toutes les campagnes de l'Empire. Il fut l'un des rares chevaux à revenir de la désastreuse retraite de Russie, grâce aux bons soins de son maître, le dragon Melet.

 

intégralement un récit d'Emile Ferdar paru dans "Les Annales" le 5 octobre 1919 au sujet du fameux dragon Melet et de son cheval Cadet avec lequel il a fait toutes les campagnes de l'Empire. Il fut l'un des rares chevaux à revenir de la désastreuse retraite de Russie grâce aux bons soins de son maître, le dragon Melet.

En savoir plus : https://les-apn-belgique.webnode.fr/news/le-dragon-melet-et-son-cheval-cadet/
intégralement un récit d'Emile Ferdar paru dans "Les Annales" le 5 octobre 1919 au sujet du fameux dragon Melet et de son cheval Cadet avec lequel il a fait toutes les campagnes de l'Empire. Il fut l'un des rares chevaux à revenir de la désastreuse retraite de Russie grâce aux bons soins de son maître, le dragon Melet.

En savoir plus : https://les-apn-belgique.webnode.fr/news/le-dragon-melet-et-son-cheval-cadet/

  Un peu de lecture, ici :

Le traitement des figurines

 

Le dragon.

 

Je ne me pencherai pas spécialement sur la tenue de dragon, la figurine en question ne permettant pas une étude plus précise de cet uniforme,

Par les temps froids, le dragon  se munit d'un manteau à rotonde en drap blanc avec collet vert Ensuite, les dragons de la Garde adoptent le manteau-capote de couleur grise, doté de manches contrairement au modèle précédent, et pourvu d'une rotonde brodée de passementeries aurores.

 

Après avoir reçu une sous couche d'apprêt gris clair, la figurine sera traitée indifféremment à l'huile ou à l'acrylique.

 

Le casque :


 

Si le casque a tatonné à la recherche de sa forme idéale au début, force est de constater qu’ensuite les évolutions sont peu marquées, car ce casque étant devenu un signe de reconnaissance fort de ce corps de cavalerie (les dragons sont des soldats montés, mais ils combattent aussi à pied), il était devenu évident qu’il ne fallait désormais pas trop y toucher.

Sous le Ier Empire, la forme générale est simple et élégante, héritière directe de celle de la révolution, avec une visière devenue systématique. Le marmouset est bien présent, et la crinière couvre tout le haut du cimier et tombe librement dans le dos. Ce point ne fera pas toujours l’unanimité, car, comme les cuirassiers, les dragons regretterons que la crinière s’imbibe d’eau quand il pleut et alourdisse le casque. Aussi, par la suite, une plaque de laiton couvrira une grande partie du haut du cimier et la crête n’en émergera que sur le tiers inférieur. La visière s’incline progressivement et la bombe va également s’étirer vers le haut, quasiment dans son prolongement, pour donner naissance à un modèle qui sera baptisé « à la Minerve », en référence à la déesse romaine de la guerre, généralement représentée avec un casque à l’Antique. Le régiment des dragons de l’Impératrice (ou régiment de la Garde) en sera doté. Les photos montrent de tels casques, reconnaissables à l’étoile au sommet des jugulaires, qui les distingue de ceux des régiments de la Ligne. On distingue nettement la couverture sommitale du cimier

                                                                                                                                         D'après un texte de Armae

 

Ma version peinture commence par une erreur..... et oui, je suis parti pour représenter un métal  argenté alors que toutes les parties métalliques sont en laiton estampé.

 

Sur une sous couche colorée, noire+bleu métallique, je passe un mélange poudre argent dilué à l'aide d'essence de briquet.


 

Avant d'aller plus en avant, un p'tit nettoyage à l'essence est donc nécessaire afin d'ôter cet aspect argenté, alors que l'application est bien fraiche.IL suffira de remplacer la poudre argent par la poudre  métallique laiton.


Maintenant que les parties métal de ce casque  ont été traitées, (bombe, cimier, porte-aigrette, jugulaires) je vais m'attaquer au  turban, recouvert d’une peau teintée pour imiter la panthère. Et sur ma lancée, je continuerai par l'aigrette et la crinière, en crin noir


 

L'écharpe, autour du cou.

 

Pour la teinte du foulard, je vais rester fidèle à la peinture du master d'Andréa..... Je vais appliquer un rouge acrylique, déssaturé par un marron beige..... Un vert foncé permettra de traiter les creux des plis. Un beige clair, mélangé au rouge de base accentuera les éclairages.

 



On remarquera le visage à peine esquissé, simplement coloré, couleur chair. Le visage à peine visible en raison de sa position ne me demandera pas  de gros efforts pour un super détaillage.

 

Le manteau.

 

A rotonde et à manches, très ample de manière à couvrir également la croupe du cheval. (des modèles différents ont existé suivant les époques)

La rotonde assure une double protection contre la pluie sur le haut du corps.
Simple, très efficace sous la pluie et par grand froid, couleur "blanc piqué de bleu". 
S'utilise aussi la nuit pour y dormir.

 

Le terme manteau, sous le 1er Empire est spécifique.

Dans l'idée contemporaine, il est bien plus générique et regroupe un ensemble de vêtement à manches longues, boutonné devant, que l'on porte à l'extérieur pour se protéger du froid.

Sous l'Empire, le concept reste le même. Il s'agit d'un habillement d'extérieur utilisé contre le froid, les frimas et les intempéries.

Cette pièce d'uniforme se porte par-dessus l'habit d'un homme qui monte à cheval. Le manteau n'est usité réglementairement qu'en petite tenue, mais contrairement à sa définition contemporaine, le manteau désigne, dans les rangs de l'Armée Impériale, un vêtement sans manche défini actuellement sous le nom de cape. À partir du moment où les manches lui sont adjointes, il est devenu manteau-capote ou manteau à manches.

 

Par opposition à la grande tenue, dont la recherche vestimentaire, en équipement, armement et harnachement a pour premier objectif de valoriser la personne lors des moments pointés par le règlement, la petite tenue affiche pour volonté première, le confort et la praticité. Elle se porte en service ordinaire, en route et en campagne.

 

Le dictionnaire de la grande Armée d'A.Pigeard, défini le manteau  comme suit :

Les manteaux protègent les cavaliers, leurs armes  et leurs munitions des intempéries. En temps de paix, on peut, pendant une route, tarder à les faire déployer, parce que l'homme, arrivant de bonne heure à son gîte, a le temps et les moyens de se sécher. Mais en temps de guerre, il est d'usage, dès qu'il commence à pleuvoir, de faire déployer les manteaux. L'averse passée, on les laisse sécher sur le dos des hommes, avant de les rempaqueter solidement et convenablement sans s'arrêter. L'habitude de rouler les manteaux et de les croiser sur la poitrine le jour du combat, procure 3 avantages :

1/le premier, de débarrasser l'ouverture des fontes

2/ le second, de permettre à la main de la bride d'être plus près de l'encolure, ce qui facilite la  

     conduite  du cheval.

3/ le troisième enfin, de protéger le cavalier.

 

Dans la cavalerie, le manteau est plié de la manière dite en portefeuille.

Le manteau des carabiniers, cuirassiers et dragons est le seul que le décret du 7 février 1812 ait conservé sous le titre de manteau. Celui des autres troupes à cheval a pris la dénomination de manteau à manches, lui ayant adapté des manches.

 

                                                                                                                           Texte d'après ce site

 

 

 

 

Peinture du manteau

Comme on a pu le constater, le manteau occupe la place importante de cette figurine sous couche d'apprêt gris clair fait bien les choses.La sous couche colorée, à l'acrylique sera composé d'un mélange de gris neutre 1er Empire et d'un gris bleu foncé. Pour les éclaircies, je prendrai un gris bleu clair, suivi d'un gris ciel, le tout ombré à l'aide d'un gris foncé, Le creux des plis importants sont traités à l'aide d'un gris bleu gris foncé, suivi de gris noir. Bien sûr, dans des références de PA.



Quelques traces de salissures, en marron orangé attestent la pénibilité de cette retraite, sous les intempéries, les diverses chutes qui peuvent en résulter.

Comme pour le manteau du cuirassier, je vais représenter les parements de cadis aurore à l'intérieur des devants et à la fente postérieure. Cette distinction semble avoir été oubliée lors de la peinture de la box art de chez Andréa.....


 

Les pieds gelaient, durant ce retour. Pour plus de protections, des bandes de tissus enveloppaient les pieds, par-dessus les bottes à l'écuyère en cuir de veau souple (pour un usage à pied et à cheval) attachées par une patte et un bouton à la culotte.
(
à l'écuyère" : dont la tige, molle et large, se terminait par une large genouillère dans laquelle le genou était engagé)


 

 

Le fusil.

 

Le dragon du 1er empire est équipé d'un fusil, d'un pistolet, d'un sabre et d'un outil (hache ou pelle).

Étant appelé à combattre éventuellement à pied (lors des périodes où il y a pénurie de chevaux - en attendant que l'on remporte une victoire qui permettra de prendre des chevaux à l'ennemi comme en 1806 - ou après avoir laissé les chevaux en arrière dans une action de Commandos), il a besoin d'un fusil.
Il s'agit d'une des variantes du modèle 1777. Il est appelé "fusil de dragon" et fut également utilisé par les artilleurs.

Ce fusil de 4,27 Kg, de calibre 17,5 mm  sa longueur 1,417 cm soit environ 10 cm plus court que pour l'infanterie  est  plus long que le mousqueton de cavalerie des hussards. Sa grenadière (bague en fer enserrant le milieu du canon avec le bois) est plus longue pour assurer une meilleure solidité de l'ensemble. Enfin, ses garnitures sont en laiton pour mieux résister à l'humidité de la transpiration du cheval.

 

 

 

Le fusil était transporté dans une "botte" le long du cheval. Une courroie maintient la botte, l'autre est tournée autour de la grenadière. Les 2 courroies sont attachées au chapelet (Pièce de cuir  reliant les 2 fontes) Il pouvait aussi être porté dans le dos à la bretelle


Il est aisé de constater, sur les photos précédentes, que le dragon a égaré son fusil, dans ces steppes russes. Je dois donc retrouver ce nécessaire  d'armement dans la boite à rabiots. Il s'agit de faire le bon choix, d'après les critères décrits ci-dessus.

 

Et peinture des divers éléments composant cette arme, représentation du bois, des métaux.


Après les couches de base colorées, peinture de finition. Coupé à la bonne longueur, le fusil est introduit et collé à son emplacement prévu.


Et faudra reprendre, de la même façon, la recherche pour trouver la partie de sabre manquante, visible sous le manteau.

 

Voilà notre dragon fin prêt pour reprendre son chemin, mais accompagné de son fidèle cheval.


 

 

Le Cheval

 

Le décret de création du régiment stipule que les dragons de la Garde doivent monter des chevaux noirs. Toutefois, le maréchal Bessières  veillant à ce que ces derniers soient strictement réservés aux grenadiers à cheval, l'administration doit se rabattre sur des montures baies et alezanes. Seuls sont admis les chevaux hongres, de taille comprise entre 1,52 m et 1,55 m et âgés d'entre quatre et six ans. La remonte s'effectue dans les régions d'élevage ou par l'intermédiaire d'établissements privés. Pourtant, le procédé s'avère difficile dès les premiers mois d'existence de l'unité. Alors qu'en juillet 1806, Bessières conseille à Arrighi de hâter l'achat des chevaux tout en l'invitant à ce que « cela ne dépasse point le prix des chevaux des chasseurs et des grenadiers à cheval », le colonel constate qu'il ne peut espérer recevoir les montures avant décembre : « les fermiers faisant leurs semences ne veulent, à quelque prix que ce soit, livrer leurs chevaux avant le 15 du mois prochain » écrit-il à son supérieur le 1er novembre. À la même époque, détachement par détachement, le régiment se met en marche vers l'Allemagne. Pour assurer leur remonte, Napoléon trie sur le volet les chevaux pris à l'armée prussienne lors de la récente campagne de 1806. Le premier contingent, fort de 200 hommes, se voit ainsi attribuer les montures des gendarmes du roi de Prusse tandis que 400 bêtes sont dirigées sur le dépôt de cavalerie de Potsdam pour être mises à la disposition des dragons de la Garde

 

D'après Wikipédia.

 

Le montage du cheval historex.

 

Les pièces nécessaires à ce montage. Il sera nécessaire de présenter un cheval épuisé, à la suite d'une marche pénible dans la neige, trouver les deux demi-corps et surtout  une bonne attitude de l'inclinaison de la tête.



 

Pour obtenir cette attitude générale

 

La crinière ci-dessus est mise en place par collage.

... et maintenue bloquée à l'aide de pinces.


Pas satisfait du résultat, j'enlève cette crinière pour en façonnée une autre, plus adaptée à la tête baissée, à l'aide de green stuff (duro).J'en profite pour placer les oreilles et reboucher certains joints.


 

Il s'agit maintenant de gérer le harnachement.

 

C'était un harnachement à la française. Il comprenait la selle et ses accessoires, la bride, le bridon et le licol.

La selle en cuir naturel, ainsi que les fontes et le coussinet, n'avaient pas de porte-fers au bas des quartiers. Sauf les étrivières en cuir de Hongrie et la courroie de dragonne en cuir fauve, toutes les autres courroies étaient noires (poitrail, montants de poitrail, ronde de fonte, croupière, courroies de charge, porte crosse et sa courroie.)

 

D'après :

Je vais donc utiliser de la feuille de métal pour confectionner toutes ces courroies. J'avais récupéré tout un lot de feuilles de plomb malléable lors du don des figurines. Après un traçage des bandes de différentes largeurs et découpage, je les applique sur le cheval.




 

La housse.

La housse de Grand Uniforme, en drap vert, était bordée de deux galons de laine aurore, le plus large à l'extérieur. Ses angles postérieurs portaient une couronne bordée en laine aurore.

Les fontes étaient recouvertes de chaperons à trois étages galonnés comme la housse.

Si la housse de Grand Uniforme ne semble pas avoir eu de plaques de cuir sur les côtés, pour la protéger du frottement des bottes, celle de petit uniforme devait en être garnie.

 

Pas tellement le choix dans ma boite à rabiots pour sélectionner la selle et housse qui vont bien pour mon dragon. On a beau avoir des tiroirs pleins de pièces détachées historex mais toujours un élément qui manque !!!!

Comme pour les courroies précédentes, je vais utiliser ma feuille de métal pour réaliser les galons de housse.

Je m'apercevrai par la suite que ce travail n'est pas des plus parfait..... délicat à coller, laissant apparaitre certaines traces.

C'est là que je pense que l'appareil découpe silhouette eût été fort utile...... Une prochaine fois


 

Le porte-manteau.

Placé derrière la selle, il contient les effets d'habillement du dragon.
(Le manteau-capote plié réglementairement avec sa couleur distinctive  vers le haut s'y attache)

 

Sans manteau, puisque ce manteau est porté. Je vais donc supprimer ce manteau du porte manteau, essayer de retravailler le dessus du porte manteau à l'aide de duro....... Simple, mais pas doué, le "Alain"...

Ce n'est pas évident, toutes ces manipulations.... et pourtant, si simple. Je vais renforcer l'absence de manteau par rajout des sangles, découpées dans la feuille de métal souple.


 

Les fontes.

À l'avant de la selle, se trouvent les  fontes, (sortes de sacoches) recouvertes de "chaperons" : pièces de cuir recouvertes de tissu les protégeant.
Celle de gauche contient un pistolet. (canon vers le bas, crosse dirigée vers l'avant de manière à être saisi de la main droite.) 
Celle de droite contient soit un autre pistolet, soit un outil. (pelle ou hache)
Les fontes des officiers se terminent par une garniture en laiton
.

 

Les fontes étaient recouvertes de chaperons à trois étages, galonnés et passepoilés comme la housse.

 

 

 

 

Et il est d'usage, maintenant, de ne pas trouver et surtout, posséder dans ma boite à rabiots ce type d'éléments.... il me faut donc jouer, à nouveau, du  duro.....

Donc, un peu de rajout de duro sur ces chaperons à deux étages..... pas terrible, mais faut se rapprocher de l'historique authentique.

 Une fois mis en place....... je croise les doigts pour que cela paraisse crédible.

J'ai bien une petite idée pour camoufler ces chaperons


 

Ça, j'ai !!!! Les fers à cheval, aussi bien en métal qu'en plastique...... Je vais utiliser ceux en métal photo découpe ..... à coller sous les sabots des deux jambes relevées.


 

Étriers et divers ustensiles (qui masqueront quelque peu  les chaperons) sont maintenant en place.


On s'aperçoit aisément que le haut des chaperons présente un espacement qui ne devrait être.... Pour résoudre ce problème, je vais y placer cruchon, plat de cuisson et le tour sera joué.


 

suite